Nous entendons tellement d’histoires sur l’altruisme et l’amour maternel que nous avons parfois tendance à oublier l’autre figure d’importance égale dans la vie d’un enfant : le père.
Le compte Instagram « Don’t Forget Dads » (« N’oubliez pas les papas ») célèbre la paternité en partageant d’adorables images et histoires sur les papas, sur leur amour et sur leur impact sur les petits.
L’idée derrière cette initiative n’est pas seulement de montrer la beauté de l’amour paternel, mais aussi d’encourager tous les pères à s’impliquer dans la vie de leurs enfants dès le plus jeune âge. « Je ne fais pas du babysitting, j’élève mon enfant. » Et c’est exactement ce que font tous ces hommes extraordinaires.
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N° 1 : Mon cœur… Un dernier baiser de papa à son adorable petit garçon. J’ai essayé d’atteindre papa sans succès, mais un ami est intervenu pour accomplir ce que j’essayais de faire. Nous t’aimons et tu nous manques déjà.
N° 2 : La partie la plus difficile de la journée est de laisser mon petit homme !
N° 3 : L’immense joie que vous ressentez lorsque vous êtes aimé pour ce que vous êtes.
N° 4 : Car des papas sont nés eux aussi, et qu’un miracle se produit à ce moment.
N° 5 : L’amour inconditionnel. Vous ne savez pas ce que c’est avant de devenir parent. C’est incroyable. Vous êtes compétent. Vous avez ce qu’il faut. Vous êtes leur univers.
N° 6 : Si tout le monde s’endort, nous ne jugerons pas comment, car le sommeil est essentiel.
N° 7 : Époux et papa à la fois. C’est le mari idéal… Laissez tomber tout cela. Passer l’aspirateur, porter le bébé et le jeune enfant… Et la barbe.
N° 8 : C’est tout ce qui compte.
N° 9 : Câlin d’amour.
N° 10 : C’est l’histoire d’une mère et d’un père qui ont enduré une disparition et qui ont persévéré pour avoir leur bébé.
Le tatouage sur sa poitrine a été réalisé après la première fausse-couche de son épouse, et aujourd’hui sa fille pose sa tête contre lui. Ce tatouage comme sa fille constituent des rappels de victoire
N° 11 : Son côté adorable semble venir d’ailleurs.
N° 12 : C’est un père de deux garçons qui travaille dur.
Il travaille entre 60 et 70 heures par semaine, voyage, et réussit quand même à prendre soin de ses fils. Il a grandi sans présence paternelle, il ne peut donc pas s’inspirer de son expérience. Il n’est pas parfait, mais c’est le papa ours parfait pour nos petits.