Un élève de primaire est rentré avec CECI sur son bras. Son père a été choqué lorsqu’il l’a lu…

Le mois dernier, en Alabama, un père a été stupéfait lorsque son fils en troisième année d’école primaire (CE2) est revenu à la maison avec un tampon d’un smiley souriant souligné d’un texte sur le bras.

Au début, le père a pensé qu’il s’agissait d’une récompense de l’instituteur ou d’une blague d’un autre enfant, mais la vérité était bien plus dérangeante. Lorsqu’il a réalisé ce qu’il avait exactement sous les yeux, le père, Jon Bivens, s’est rendu dans les locaux du quotidien local, The Huntsville Times, pour exprimer une plainte dérangeante.

Tout comme cette fille forcée de se couvrir parce qu’elle portait un débardeur, le fils de Jon a été critiqué et humilié publiquement pour une infraction minime, sur laquelle il n’avait qu’un contrôle très limité.

Après tout, à l’école primaire les enfants ont généralement entre 5 et 11 ans, on ne peut les tenir trop responsables, et ils ne méritent définitivement pas d’être rudoyés par leurs enseignants et l’administration scolaire.

Et quelle était l’erreur de cet enfant ? Continuez votre lecture pour connaître les détails de cette histoire.

Au premier regard, Jon Bivens a pensé que son fils avait été récompensé pour son bon comportement avec un tampon en forme de smiley sur son bras.

Puis, il a remarqué le texte qui le soulignait et a réalisé qu’on avait tamponné les mots « I Need Lunch Money » (j’ai besoin d’argent pour le repas) sur le bras de son jeune enfant.

Choqué dans un premier temps, il n’a pas mesuré ce qu’impliquait ce tampon.

Il s’avère que la cantine de l’école élémentaire où est scolarisé le fils de Jon, la Gardendale Elementary à Gardendale, dans l’Alabama, fonctionne avec des cartes rechargeables.

Les demi-pensionnaires doivent passer cette carte pour payer leurs repas.

Les parents rechargent la carte en confiant de temps en temps de l’argent à leurs enfants et sont prévenus si le solde s’amenuise.

Jon Bivens a compris le système, mais il a été choqué par la méthode utilisée.

Son petit garçon amène un panier-repas à l’école presque tous les jours et n’a que rarement besoin d’argent pour son repas, sauf lorsqu’il jette son dévolu sur un petit plaisir à la cantine.

Ainsi il n’a presque jamais utilisé sa carte de repas et ses parents ont décidé de ne pas la recharger alors que la fin de l’année était proche.

Malgré cela, Jon Bivens a tout le même déclaré au The Huntsville Times qu’en tant que parent il était stupéfait par la méthode choisie par l’école pour transmettre le message.

Il a ajouté que dans le passé l’école appelait ou envoyait des courriels ou des courriers pour rappeler le solde aux parents.

Le tampon, qu’il considère comme une « marque » similaire à celle utilisée sur le bétail, n’est normalement utilisé qu’en dernier recours par l’école.

Jon Bivens assure ne pas avoir eu de contact direct et ajoute : « lorsque vous commencez à tamponner un message sur le corps d’un enfant plutôt que d’appeler… C’est qu’il y a un problème. »

Il considère également le fait d’utiliser un tampon comme « une forme de brimade. »

Du point de vue d’un parent c’était un comportement complètement déplacé de la part de l’école.

Il a également noté que cela arrivait à un moment particulièrement dur à comprendre.

Il ne restait que quelques jours de classe à son fils, vu que l’école se termine avant la fin du mois de juin.

Il n’avait aucune raison de penser que son fils avait besoin de recharger sa carte à la fin de l’année, et pense que l’école doit intégralement repenser sa façon de communiquer avec les enfants et leurs parents.

Êtes-vous d’accord avec Jon Bivens au sujet de la manière dont l’école a géré cette situation ?

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