Malade, le père âgé de cette femme s’apprête à lui faire ses adieux… mais regardez bien ce que va faire ce cerf !

Latricia Thomas a récemment perdu son père, qui était malade depuis bientôt 10 ans. Vers la fin de sa vie, quelque chose d’incroyable s’est produit : la famille toute entière a pu assister à un miracle – mais pas le genre de miracle uniquement réservé aux personnes croyantes, tant son message et son symbolisme étaient puissants.

« Lorsque mon père était un chasseur, chaque année, le jour de l’ouvertire de la chasse à l’arc, on pouvait le trouver dans un arbre, au lever du soleil, vêtu de kaki.

Au fil des ans, il a troqué son fusil contre un appareil photo, et a alors appris à ses enfants et petits-enfants comment mieux apprécier ce nouveau passe-temps.

La semaine dernière, deux jours avant sa mort, Papa a rencontré son cerf. Il était superbe et parfait, avec dix cors, six d’un côté et quatre de l’autre. Il s’est approché de la fenêtre de la pièce où Papa était assis dans son fauteuil préféré, et il l’a regardé droit dans les yeux.

Quelques minutes plus tard, il était sous le porche de la maison, à essayer d’ouvrir la porte en poussant la poignée. Papa a fini par se lever, retrouvant un peu de l’énergie qu’il avait perdue à ce stade de sa vie, il a ouvert la porte, et a tendu la main. Et ce cerf, que mon père n’avait jamais vu auparavant, s’est détendu au contact de mon père, et l’a laissé le caresser. Cet animal sauvage est, pendant quelques minutes seulement, devenu aussi obéissant et domestiqué qu’un chien dressé depuis son plus jeune âge.

Mon père l’a regardé, il a regardé mon père, et mon père a tout simplement dit « je suis prêt. »

Après huit années de lutte contre une maladie qui ne voulait pas le laisser en paix, il était enfin prêt.

Après avoir assisté à la naissance de trois enfants, et de neuf petits-enfants, il était enfin prêt.

Après être tombé nez à nez avec l’animal qu’il avait traqué pendant des années, il était enfin prêt.

Papa s’est rassis dans son fauteuil, tandis que mon frère, ma soeur et moi sommes sortis pour admirer le cerf. Il a accepté qu’on le touche, il a posé sa tête sur notre épaule, et a léché nos visages. À aucun moment il ne s’est inquiété, ou n’a sursauté.

Papa est mort deux jours plus tard en tenant les mains de ses enfants et de Nancy, sa compagne, dans la maison que son propre père avait construite de ses mains, et que Papa avait restaurée, avant de la baptiser la Villa. Lorsque l’aide soignant est passé, il a mentionné le nombre de cerfs qui traînaient dans les parages.

J’ai alors sorti les photos du cerf de Papa, afin de partager cette rencontre incroyable avec lui. Et dès qu’il a vu la première photographie, il a dit « je viens juste de voir ce même cerf en train de tourner en rond autour de la maison. »5

L’animal était venu, une dernière fois, pour emmener Papa avec lui. Il est assez difficile de décrire ce que cela fait d’assister à un miracle. Mais je serai toujours reconnaissant d’avoir pu voir mon père, libre de toute angoisse, et d’avoir pu lui faire des adieux paisibles.

Je t’aime, Papa. »

Quelle histoire formidable, qui prouve que les voies du Seigneur sont vraiment impénétrables. Si cette histoire vous a ému, alors PARTAGEZ cet article avec vos amis sur Facebook.