L’enfant star Mara Wilson a fait fureur en 1993 quand, à l’âge de 6 ans, elle a joué aux côtés des acteurs oscarisés Robin Williams et Sally Field, dans la comédie « Madame Doubtfire ». En 1996, elle a joué dans un autre film à succès, l’adaptation au cinéma de « Matilda » de Roald Dahl, mais a disparu des projecteurs presque aussi vite qu’elle est devenue une vedette.
Après « Matilda », Wilson a décroché quelques rôles dans des films et des séries télévisées moins connus avant de s’éloigner des plateaux pendant une bonne décennie. Elle s’est mise au théâtre et à l’écriture, et a commencé à œuvrer pour des causes caritatives. Et, croyez-le ou non, elle a grandi ! C’est dingue, non ?
Continuez la lecture pour savoir à quoi ressemble l’adorable petite fille de « Madame Doubtfire » aujourd’hui, ainsi que ce qu’elle a fait depuis sa prestation qui nous a fait oublier que nous ne faisions que regarder Robin Williams déguisé en vieille dame.
Elle a connu le succès très tôt
Dans un article publié sur son blog en 2013, Mara Wilson a expliqué pourquoi elle avait décidé d’arrêter de jouer après avoir connu un tel succès au cinéma. « Le cinéma n’est pas très amusant », a-t-elle écrit. Faire la même chose encore et encore jusqu’à ce que, aux yeux du metteur en scène, « ce soit la bonne » ne laisse pas beaucoup de place à la liberté créative. Les meilleurs moments que j’ai passés sur les plateaux de tournage ont été ceux où le réalisateur m’a laissé m’exprimer, mais ils étaient rares ».
Elle a poursuivi en décrivant à quel point les auditions peuvent être « déshumanisantes », et qu’il est « ridicule » de devenir une célébrité. Quelques années plus tard, elle a expliqué son amour perdu pour le grand écran dans un entretien accordé à NPR en 2016. Elle a évoqué la mort de sa mère, survenue alors qu’elle avait 8 ans, ainsi que ce qu’elle considérait comme l’apogée de sa carrière, sa participation au film « Matilda », et ce qui l’a amenée à devenir « un peu désenchantée par le jeu, par Hollywood ». Elle a poursuivi sa carrière quelques années, car c’était « une béquille » qui l’a aidée à faire face à la dépression et à l’anxiété dont elle souffrait après le décès de sa mère, mais même le sentiment de stabilité qu’elle ressentait alors s’est rapidement estompé.